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Les résidents d’Abuja déposent une plainte pour empêcher l’inauguration de Tinubu

Les résidents d'Abuja déposent une plainte pour empêcher l'inauguration de Tinubu

Les résidents d'Abuja déposent une plainte pour empêcher l'inauguration de Tinubu

Introduction :

L’article traite des poursuites engagées contre le président élu du Nigeria, Bola Tinubu, par certains résidents du Territoire de la capitale fédérale (FCT), qui demandent l’annulation ou la suspension de son investiture le 29 mai. Ils réclament également une ordonnance empêchant tout candidat à l’élection présidentielle de prêter serment en tant que président ou vice-président de la République fédérale du Nigéria sans avoir obtenu au moins 25% des suffrages exprimés au premier tour de scrutin dans la FCT.

Qui sont les plaignants qui ont engagé les poursuites contre Bola Tinubu ?

Les plaignants sont des résidents du Territoire de la capitale fédérale (FCT) au Nigeria.

Que demandent les plaignants au tribunal ?

Les plaignants demandent une ordonnance empêchant tout candidat à l’élection présidentielle de prêter serment en tant que président ou vice-président de la République fédérale du Nigéria sans avoir obtenu au moins 25% des suffrages exprimés au premier tour de scrutin dans la FCT. Ils réclament également une ordonnance empêchant l’investiture de Bola Tinubu le 29 mai.

Quel est l’article de la Constitution que les plaignants invoquent pour justifier leur demande ?

Les plaignants invoquent l’article 134(2)(b) de la Constitution pour justifier leur demande.

Quel est l’enjeu de cette affaire pour les résidents du FCT ?

Les résidents du FCT estiment avoir un intérêt légal et des droits constitutionnels à être entendus sur la question de savoir si un président élu doit obtenir au moins 25% des suffrages exprimés au premier tour de scrutin dans la FCT.

Quel est le mandat actuel du président nigérian Muhammadu Buhari ?

Le mandat actuel de Muhammadu Buhari en tant que président et commandant en chef des forces armées de la République fédérale du Nigéria subsiste et perdure conformément aux dispositions de l’article 135(1)(a) de la Constitution.

Qui sont les accusés dans cette affaire ?

Le procureur général de la Fédération et le juge en chef du Nigeria, le juge Olukayode Ariwoola, ont été cités dans l’affaire comme 1er et 2e accusés, respectivement.

Pourquoi les plaignants estiment-ils qu’aucun État du pays n’est en même temps le FCT ?

Les plaignants estiment qu’aucun État du pays n’est en même temps le FCT pour quelque proposition que ce soit, y compris, notamment, en vertu de l’article 134(2)(b) de la Constitution.

Quelles sont les conséquences si l’investiture de Bola Tinubu est suspendue ou annulée ?

Si l’investiture de Bola Tinubu est suspendue ou annulée, cela aura des répercussions sur le résultat de l’élection présidentielle du 25 février dans le pays.

Pourquoi les plaignants estiment-ils qu’ils ont des droits constitutionnels à être entendus sur cette question ?

Les plaignants estiment avoir des droits constitutionnels à être entendus sur la question de savoir si un président élu doit obtenir au moins 25% des suffrages exprimés au premier tour de scrutin dans la FCT.

Quelles sont les implications de cette affaire pour l’avenir politique du Nigeria ?

Cette affaire aura des implications importantes pour l’avenir politique du Nigeria, en particulier en ce qui concerne les exigences constitutionnelles pour être élu président de la République fédérale du Nigéria.

Résumé :

Des résidents du Territoire de la capitale fédérale (FCT) au Nigeria ont engagé des poursuites contre le président élu Bola Tinubu, demandant l’annulation ou la suspension de son investiture le 29 mai. Ils réclament également une ordonnance empêchant tout candidat à l’élection présidentielle de prêter serment en tant que président ou vice-président de la République fédérale du Nigéria sans avoir obtenu au moins 25% des suffrages exprimés au premier tour de scrutin dans la FCT. Les plaignants estiment avoir des droits constitutionnels à être entendus sur cette question et invoquent l’article 134(2)(b) de la Constitution pour justifier leur demande. Cette affaire aura des implications importantes pour l’avenir politique du Nigeria.

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