NDLEA : Pourquoi nous avons opté pour un procès à huis clos

NDLEA : Pourquoi nous avons opté pour un procès à huis clos

Introduction: L’article traite du procès du DCP Abba Kyari et de ses coaccusés à huis clos à Abuja, au Nigéria. L’Agence nationale de lutte contre la drogue (NDLEA) a expliqué les raisons de la tenue de ce procès à huis clos en invoquant des problèmes de sécurité liés aux témoins infiltrés devant être protégés. Les journalistes ont été empêchés de couvrir l’affaire sur demande de la NDLEA.

Questions :

Sommaire

Pourquoi le procès du DCP Abba Kyari et de ses coaccusés a-t-il été tenu à huis clos ?

Quel est le rôle de l’Agence nationale de lutte contre la drogue (NDLEA) dans ce procès ?

Pourquoi les journalistes n’ont-ils pas été autorisés à couvrir le procès ?

Qui sont les témoins infiltrés dans cette affaire ?

Quels sont les chefs d’accusation retenus contre les policiers jugés ?

Quels sont les noms des coaccusés d’Abba Kyari dans cette affaire ?

Quel est le verdict pour Chibunna Umeibe et Emeka Ezenwanne ?

Pourquoi les avocats ont-ils été obligés de quitter la salle d’audience ?

Quand le témoignage d’un témoin supplémentaire a-t-il été recueilli ?

Quand aura lieu la prochaine audience dans cette affaire ?

Réponses :

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Pourquoi le procès du DCP Abba Kyari et de ses coaccusés a-t-il été tenu à huis clos ?

Le procès du DCP Abba Kyari et de ses coaccusés a été tenu à huis clos en raison de préoccupations de sécurité liées aux témoins infiltrés qui devaient être protégés. Les avocats de l’Agence nationale de lutte contre la drogue (NDLEA) et les accusés ont convenu que les témoins devaient être protégés et que le procès devait se dérouler à huis clos pour cette raison.

Quel est le rôle de l’Agence nationale de lutte contre la drogue (NDLEA) dans ce procès ?

L’Agence nationale de lutte contre la drogue (NDLEA) est l’organisme responsable de la poursuite de l’affaire contre le DCP Abba Kyari et ses coaccusés. La NDLEA a déclaré que le procès devait se dérouler à huis clos en raison de problèmes de sécurité liés aux témoins infiltrés qui devaient être protégés.

Pourquoi les journalistes n’ont-ils pas été autorisés à couvrir le procès ?

Les journalistes n’ont pas été autorisés à couvrir le procès sur demande de l’Agence nationale de lutte contre la drogue (NDLEA). La NDLEA a invoqué des problèmes de sécurité liés aux témoins infiltrés qui devaient être protégés pour justifier sa demande.

Qui sont les témoins infiltrés dans cette affaire ?

Les témoins infiltrés dans cette affaire sont des témoins qui ont été amenés au tribunal pour témoigner contre le DCP Abba Kyari et ses coaccusés. Ils sont considérés comme des témoins à haut risque et doivent être protégés.

Quels sont les chefs d’accusation retenus contre les policiers jugés ?

Les policiers jugés sont accusés de fausses déclarations et de manipulation d’une partie des 21,8 kilogrammes de cocaïne récupérés sur deux condamnés. Les quatre policiers accusés comprennent l’ACP Sunday J. Ubia, l’ASP Bawa James, l’inspecteur Simon Agirigba et l’inspecteur John Nuhu répertoriés respectivement comme 2e à 5e accusés.

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Quels sont les noms des coaccusés d’Abba Kyari dans cette affaire ?

Les coaccusés d’Abba Kyari dans cette affaire sont Chibunna Umeibe et Emeka Ezenwanne. Ils sont accusés d’avoir conspiré avec d’autres personnes (maintenant en liberté) pour faire entrer des drogues dures dans le pays.

Quel est le verdict pour Chibunna Umeibe et Emeka Ezenwanne ?

Chibunna Umeibe et Emeka Ezenwanne ont été déclarés coupables et condamnés à deux ans d’emprisonnement.

Pourquoi les avocats ont-ils été obligés de quitter la salle d’audience ?

Les avocats ont été obligés de quitter la salle d’audience sur demande de l’Agence nationale de lutte contre la drogue (NDLEA). La NDLEA a invoqué des problèmes de sécurité liés aux témoins infiltrés qui devaient être protégés pour justifier sa demande.

Quand le témoignage d’un témoin supplémentaire a-t-il été recueilli ?

Le témoignage d’un témoin supplémentaire a été recueilli lors de la dernière audience du procès. Les documents bancaires que l’avocat de la NDLEA cherchait à présenter ont été contestés par les accusés, et la décision du tribunal sur la recevabilité de ces preuves est réservée.

Quand aura lieu la prochaine audience dans cette affaire ?

La date de la prochaine audience dans cette affaire n’a pas été précisée dans l’article. Le procès a été ajourné pour permettre aux avocats, aux plaideurs, aux visiteurs, y compris les journalistes, de sortir de la salle d’audience. Le greffier a ensuite annoncé aux avocats, qui n’avaient rien à faire dans l’affaire Kyari, de s’avancer et de prendre une autre date pour leurs affaires.

Résumé : L’article traite du procès du DCP Abba Kyari et de ses coaccusés à huis clos à Abuja, au Nigéria. L’affaire est menée par l’Agence nationale de lutte contre la drogue (NDLEA), qui invoque des problèmes de sécurité liés aux témoins infiltrés pour justifier le procès à huis clos et l’interdiction de couvrir l’affaire par les journalistes. Les accusés sont accusés de fausses déclarations et de manipulation d’une partie des 21,8 kilogrammes de cocaïne récupérés sur deux condamnés. Les coaccusés d’Abba Kyari sont Chibunna Umeibe et Emeka Ezenwanne, qui ont été déclarés coupables et condamnés à deux ans d’emprisonnement. Le témoignage d’un témoin supplémentaire a été recueilli lors de la dernière audience, et la décision du tribunal sur la recevabilité de certaines preuves est réservée.

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